Comme le changement climatique, la pollution de l’Océan est une cruelle injustice. Les courants et les animaux transportent les polluants à grande distance et, bien loin des pays émetteurs, les effets peuvent être redoutables sur les communautés qui dépendent le plus des produits de la mer pour leur alimentation ou leur économie, des îles tropicales aux Inuits.
Mais il n’y a pas de fatalité. Toutes les pollutions sont d’origine humaine, généralement terrestre. Nous pouvons agir, dès à présent, en remontant à la source. L’Océan peut rebondir quand les dégâts cessent. Voilà le message de la Déclaration de Monaco qui est venue conclure les travaux.
Un appel à prendre la mesure du problème et à passer à l’action pour « Faire progresser la santé et le bien-être humains en empêchant la pollution des Océans. »